À quoi sert l’assurance vie ?

L’assurance vie est un moyen d’épargne pour intelligemment préparer sa retraite avec une fiscalité très avantageuse. Elle est également une bonne stratégie de prévoyance sur les situations malheureuses de la vie. En cas d’accident ou de décès, elle couvre les dépenses d’urgence. Nous vous en dirons plus dans cet article.

Qu’est-ce que l’assurance vie ?

L’assurance vie est un contrat d’investissement sur des obligations. Dirigez-vous vers ce site, puis visitez-le. À travers l’assurance vie, le souscripteur mise un capital d’argent qu’il peut compléter au fil du temps tout en bénéficiant d’une protection fiscale. On peut l’entendre comme un compte d’épargne à faible taux fiscal. Il y a donc un gros profit à souscrire une assurance vie.

Les avantages de l’assurance vie

Souscrire une assurance vie revient à préparer sa retraite, jouir d’une fiscalité moins étouffante, anticiper les événements malheureux.

Préparer sa retraite

Vous pouvez souscrire une assurance vie, rien que pour vous. Dans ce cas, vous êtes à la fois le souscripteur et le bénéficiaire. Vous choisissez ainsi d’anticiper votre retraite avec un capital supérieur ou égal à 200 €. Cette mise, elle vous permet de vous constituer une bourse d’économies à côté. Toujours est-il que vous avez la possibilité de l’augmenter autant que vous le pouvez.

La somme ainsi trouvée vous revient avec 5 % l’an. Certains assureurs offrent jusqu’à 15 % selon le capital investi. C’est pourquoi il est toujours opportun de recourir à l’expertise d’un spécialiste du domaine pour une meilleure rentabilité.

Anticiper les événements malheureux

Le fonds dont dispose un souscripteur de l’assurance vie est pour lui et constitue son patrimoine. Il peut le toucher n’importe quand il le désire. Cela lui permet de faire face, sans gêne, aux urgences en cas d’accident ou de perte d’emploi. Faut-il le souligner, s’il advient que le souscripteur est licencié, il peut volontairement interrompre le contrat. Il décide de continuer dès que possible. Ou carrément, il retire son capital avec 1 % de prélèvement forfaitaire.